Les régimes militaires au pouvoir au Burkina Faso, au Mali et au Niger ont annoncé le dimanche 28 Janvier 2024 , le retrait “sans délai” de la Cédéao.
Un nouvel acte de rupture aux conséquences pratiques potentiellement lourdes, par exemple sur la circulation des biens et des personnes. Le retrait des trois pays, théâtres de coups d’État militaires successifs depuis 2020, marque le point d’orgue de la dégradation des relations avec la Cédéao.
Celle-ci s’est employée en vain à obtenir le retour le plus rapide possible de civils au pouvoir.